Collection(s) : Fiction
Paru le 03/01/2020 | Broché 301 pages
(Le comptoir des lettres)
Iegor Gran raconte la répression politique et culturelle dans la Russie des années 1960, à travers l'histoire de son père traqué par le KGB. Ironie et humour grincant.
(Le Genre urbain)
"Ivanov n'est certes pas un expert en littérature (a chacun son métier), mais, devant ses textes horribles, pas besoin de si connaitre ! Il faut arrêter le criminel avant qu'il n’écrive autre chose"
Un tour de force de Iegor Gran, qui arrive a nous raconter la traque rocambolesque de ses parents avec finesse et humour.
Le ridicule ne tue pas, il vous envoi au camp.
(LA LIBRAIRIE DU CANAL)
Un article critique envers l'esthétique du réalisme dit "socialiste" a été publié en France alors qu'il a été rédigé en URSS. Comment est-ce possible ? Les services compétents du KGB enquêtent...
Humour et espionnage s'entremêlent avec délice dans ce roman qui se rit de la paranoïa des systèmes totalitaires.
(Nordest)
URSS, services (in)compétents, humour et littérature. Que demander de plus ?
Ah oui. Une bonne dose d'humanité.
(Le Genre urbain)
"Ivanov n'est certes pas un expert en littérature (à chacun son métier), mais devant ses textes horribles, pas besoin de s'y connaître. Il faut arrêter le criminel avnt qu'il n’écrive autre chose".
Moralité à partir de cette citation tiré du livre on pourrait dire que si le ridicule ne vous tue pas, il vous envoie au camp ! Un livre délicieusement drôle, précipitez-vous !
(Atout Livre)
URSS années 60 : un certain Abram Tertz nargue la censure et fait paraitre à l'étranger des textes particulièrement caustiques.
Au KGB, le capitaine Ivanov mène l'enquête : qui se cache derrière Abram Tertz ? Mais surtout : comment le coincer ?